Cette année, les Jeux olympiques auront lieu du 26 juillet au 11 août, à Paris. En raison de la guerre en Ukraine, la Russie ne participera pas à cet événement. Ses quelques athlètes concourants, seront présentés sous bannière neutre. Mais Vladimir Poutine ne s’est pas laissé mettre de côté aussi facilement : il a créé ses propres jeux.
Le grand jeu est sorti. Chefs d’État, vétérans, visiteurs débarquent en Normandie pour le 6 juin. Ils seront passeurs de mémoire. Bals populaires, hôtels affichant complet, course de jeeps, levée d’étendards… Un absent pourtant : le président russe. La faute à la guerre qui l’oppose aux États occidentaux ?
Sans que l’on puisse assurer avec certitude que la tuerie ait été commanditée par les services ukrainiens ou l’État islamique à cette heure, les premières constatations penchent pour la piste ukrainienne.
En obtenant 88 % des voix face à des opposants sans réel relief, le président de la Fédération de Russie prolonge, sur fond de guerre en Ukraine, une séquence de l’histoire de la Russie ouverte il y a un quart de siècle. Une victoire aisée accueillie par des réactions hostiles dans le camp occidental.
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