L’ancien Premier ministre, qui préside l’association Agir pour la Paix avec les chrétiens d’Orient, a publié hier un communiqué sur les réseaux sociaux pour s’inquiéter de l’évolution de la situation au Liban qui menace selon lui l’avenir même de ce pays multiconfessionnel construit historiquement autour de la communauté chrétienne maronite. Cet appel revêt une solennité certaine alors que l’armée israélienne a débuté ses incursions au sud-Liban visant les positions du Hezbollah.
Qualifié de pro-russe et d’antivax par ses opposants, l’ancien ministre Herbert Kickl a su mener à la victoire le parti de la droite populiste autrichienne qui frôle les 30 %, un niveau auquel on ne l’attendait pas et qui réjouit ses alliés souverainistes en Europe.
La stupéfaction règne toujours au Liban après l'élimination le 27 septembre du principal dirigeant chiite qui dirigeait depuis 1992 le Hezbollah, parti politique et organisation militaire soutenue par la Syrie et l'Iran. Les bombardements israéliens ciblés contre les positions du Hezbollah se sont poursuivis tout le weekend, n'épargnant pas les civils.
Le site internet français dédié à la souveraineté technologique, animé par Bertrand Leblanc-Barbedienne, a parfaitement réussi son double objectif : devenir un acteur incontournable de la tech française et inscrire son action de façon décentralisée, en l’occurrence en utilisant les ressources bretonnes. Cette année, Arnaud Montebourg faisait office de tête d'affiche de sa grande rencontre annuelle.
Des élections régionales et sénatoriales se tenaient les vendredi et samedi 20 et 21 septembre en République tchèque. C’est le parti allié au Rassemblement national au sein du nouveau groupe « Patriots for Europe » du Parlement européen qui a emporté largement ces scrutins, au-delà même de ses espérances.
Un journaliste spécialisé en économie propose dans "Le monde qu’ils veulent" (L’Artilleur) une synthèse passionnante sur l’obsession de la globalisation qui règne parmi les élites politiques et financières mondiales. Du Club de Rome à Emmanuel Macron, on observe des discours semblables, obnubilés par le dépassement des nations et la mise en place d’une gouvernance planétaire.
C’est fait : Ursula von der Leyen a présenté publiquement la liste des commissaires européens telle qu’elle va la présenter au Parlement européen, qui pourra la modifier à la marge en cas d’hostilité à l’un de ces hauts-fonctionnaires dont la nomination est négociée entre la Présidente de cette institution technocratique et les chefs d’État ou de gouvernement des pays membres de l’UE.
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