Jérôme BESNARD

Aucune motion de censure n’a été adoptée en France depuis 1962. Le nouveau Premier ministre y a échappé hier malgré l’absence de majorité parlementaire, à la grande fureur de la gauche. Il est patent que les Français aspirent à un minimum de stabilité politique, ce qu’à bien compris le RN qui laisse bien volontiers les accents révolutionnaires à d’autres.

Un texte jusque-là inédit, permet une nouvelle approche, sombre et violente, d’un de ces « seigneurs de la guerre » qui s’illustrèrent aux confins de la Chine et de la Russie aux lendemains de la Première guerre mondiale. Ce Balte passé chez les Bouriates n’est autre que le mythique général baron Ungern.

Même sourde, la colère des agriculteurs demeure tant confrontés à de récurrents problèmes de trésorerie pour des raisons aussi diverses que l’évolution climatique, l’empilement des normes, la pression des circuits de distribution, les outrances des écologistes radicaux. Le nouveau gouvernement a ainsi hérité d’un dossier brûlant. Le nouveau gouvernement a ainsi hérité d’un dossier brûlant.

L’historien belge David Engels vient de publier une introduction à l’essai publié il y a plus d’un siècle par l’intellectuel allemand Oswald Spengler. Un livre qui fit date et qui demeure encore de nos jours un classique de la science politique conservatrice européenne.

Alors que la majorité des caciques LR ont préféré suivre Laurent Wauquiez dans une alliance avec les macronistes, l’ancien président de ce parti mise sur la jeunesse pour structurer sa propre formation politique l’UDR, décidée à nouer des alliances durables avec le Rassemblement national de Marine Le Pen et Jordan Bardella. Revue des troupes.

L’Organisation du traité de l’Atlantique nord, dont le siège est à Bruxelles, a fêté récemment ses 75 ans d’existence. Bras armée de la puissance américaine en Europe, elle vient de changer de secrétaire général, Mark Rutte succédant à Jens Soltenberg.

Le "Dôme de fer" utilisé par Israël pour se protéger des attaques aériennes et de missiles, a été mis à l'épreuve mardi 1er octobre, avec les attaques de 180 missiles iraniens. Selon les autorités israéliennes, aucun dégât majeur n'aurait été causé.