Une thèse vieille de dix ans, une universitaire reconnue et une brève radiophonique avec un énoncé pour le moins assertif. Le 17 janvier, « pôle Edition de France Inter » se piquait d’histoire antique. En trois minutes, la rédaction règle son compte à « une idée reçue construite a posteriori et intellectuellement inexacte » à savoir que l’Europe serait héritière de la Grèce et de Rome.
L’historien des relations internationales Frédéric Le Moal a publié son dernier ouvrage, « Les Hommes de Mussolini ». Il y retrace, par une série de portraits psychologiques et historiques, l’histoire des artisans du régime fasciste, avec une belle plume.
« Je suis Giorgia Meloni. Je suis une femme, je suis une mère, je suis italienne, je suis chrétienne ! Et ça, vous ne me l’enlèverez pas ! ». C’est par ces quelques mots que la nouvelle Première Ministre d’Italie se définit à chaque discours. Mais au-delà de la punchline, on retrouve un vrai programme politique : le retour à l’identité italienne.
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