La tension militaire ne retombe pas, loin de là, au Moyen-Orient. Un attentat à la frontière jordanienne a visé les troupes américaines et une partie de la droite israélienne réclame une nouvelle colonisation partielle de la bande Gaza. De quoi inquiéter les observateurs avisés de la région, pour qui plus que jamais et dans chaque camp, les fous sont de sortie.
En éliminant dans ses bureaux libanais le numéro deux du Hamas, Saleh al-Arouri, Israël est passée le 2 janvier à une deuxième étape de sa réaction militaire à l’opération terroriste palestinienne du 7 octobre dernier. La balle est désormais dans le camp du Hezbollah puisque l’opération israélienne s’est déroulé dans une zone contrôlée par l’organisation chiite.
Emmanuel Macron a beaucoup de mal à tenir une ligne à l’international. Le chef de l’État accumule les déclarations contradictoires concernant le conflit au Proche-Orient. À croire qu’il confond le « en même temps » cher à sa communication et la position d’équilibre traditionnel de la France.
Israël se trouve de plus en plus isolé sur la scène internationale. Bahreïn et la Bolivie ont été jusqu’à remettre en cause leurs liens diplomatiques avec Tel-Aviv.
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