Les possibles poursuites de la CPI contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant inquiètent les chancelleries occidentales qui seraient alors obligés de les arrêter en cas de séjour sur leurs territoires, mis à part aux États-Unis qui n’ont pas ratifié le statut de Rome.
Pour sa riposte, inévitable après la destruction de son consulat à Damas, l’Iran, pensait-on, utiliserait ses « proxy », le Hezbollah au Liban, les milices chiites en Irak ou les Houthis en Mer Rouge pour se venger d’Israël. Rien de tout cela ne s’est produit.
Les pays occidentaux sont dans la crainte d’une escalade au Proche-Orient depuis l’attaque israélienne contre le consulat iranien de Damas. La situation s’est particulièrement tendue ces dernières heures, notamment au Liban et dans le Golfe persique.
La tension militaire ne retombe pas, loin de là, au Moyen-Orient. Un attentat à la frontière jordanienne a visé les troupes américaines et une partie de la droite israélienne réclame une nouvelle colonisation partielle de la bande Gaza. De quoi inquiéter les observateurs avisés de la région, pour qui plus que jamais et dans chaque camp, les fous sont de sortie.
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