Les iles espagnoles des Canaries font l’objet d’une arrivée exponentielle d’étrangers en situation irrégulière depuis le début du mois d’octobre. Une situation qui risque de devenir ingérable d’ici peu.
La volonté politique de contrôler les frontières à l’arrivée de la route d’immigration des Balkans demeure un vœu pieux, malgré la fermeté affichée ces derniers jours par l’Italie et la Slovénie. Reportage à Goritz.
Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, a annoncé mardi 19 septembre que la France « n’accueillerait pas de migrants » en provenance de Lampedusa. Cependant, une exception sera faite pour les « réfugiés politiques ».
6 000 migrants ont débarqué en 24 heures sur la petite île italienne de Lampedusa. Une situation catastrophique qui échappe aux autorités locales et qui, au vu des premières réactions en France, pourrait bien replacer l’immigration au centre du débat des élections européennes.
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