À partir du mardi 22 octobre, la Russie accueille le sommet des BRICS. Plus de vingt dirigeants participeront à cette rencontre visant à affirmer que la Russie n’est pas isolée malgré les sanctions occidentales. Ce sommet pourrait également aborder les conflits en Ukraine et au Moyen-Orient.
Général de brigade et historien, Jean-Marc Marill a commandé le 21e RIMA. Il est ensuite devenu attaché de défense au Tchad, puis a rejoint le bureau Afrique de la Direction militaire du renseignement, dont il a été le directeur opérations adjoint. Ancien directeur du Centre historique des Archives de la Défense à Vincennes, il a notamment codirigé le Dictionnaire des opérations extérieures de l’armée française de 1963 à nos jours (éd. du Nouveau Monde) et rédigé une Histoire des guerres révolutionnaires et impériales, 1789-1815 (éd. du Nouveau Monde). Son entretien est aussi à retrouver dans notre premier magazine, « Ukraine, la vérité qui dérange », disponible sur notre site internet, boutique.omertamedia.fr.
A rebours de bien des témoignages, l’actuel Président de la République souhaite voir reconnaître la responsabilité de la France dans le génocide commis contre les populations Tutsi au Rwanda en 1994. La raison probable de ce positionnement : plaire à Paul Kagame, chef d’État rwandais, un protégé des Américains aux méthodes de gouvernement contestées et contestables.
Ministre à plusieurs reprises entre 1984 et 2010, ce centriste social-libéral a perdu un des fils, officier de l’armée française, en 2019 dans une collision d’hélicoptères au Mali. Emmanuel Macron vient de nommer l’ancien parlementaire du Haut-Rhin, âgé de 73 ans et très critique sur la « Françafrique », comme émissaire spécial de l’Élysée sur le continent africain.
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