Un an après l’explosion des gazoducs Nord Stream 1 et 2, toujours aucun responsable n’a été désigné. Trois pays mènent encore leur investigation. La Suède, à travers son procureur, a déclaré être « dans la phase finale de son enquête ». L’Allemagne et le Danemark poursuivent leur instruction.
À l’occasion de la visite du président ukrainien Volodymyr Zelensky vendredi 22 septembre, le parlement canadien a ovationné un ancien soldat nazi, ex-membre de la 14e division de grenadiers de la Waffen-SS. Une séquence largement commentée sur les réseaux sociaux, obligeant le président de la Chambre des communes canadienne à s’excuser.
Le président polonais a clarifié les déclarations de son Premier ministre sur la livraison d’armes à l’Ukraine : elle ne concernerait en fait que les équipements neufs. Une annonce destinée à faire baisser la tension entre les deux pays, que la France qualifie de « regrettables ».
Vilipendé pour avoir estimé qu’il fallait trouver une sortie de crise négociée dans la guerre en Ukraine, Nicolas Sarkozy dit pourtant tout haut ce qui se murmure de plus en plus dans les chancelleries occidentales. Face à l’impasse sur le terrain, la diplomatie devrait retrouver ses droits.
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