Les violents heurts ont touché la minorité serbe du nord du Kosovo. La KFOR oblige l’OTAN à renforcer son contingent. En cause, le refus des Serbes de voir s’installer des maires albanophones à la tête de leurs villages.
Selon l’association humanitaire Solidarité Kosovo, les Serbes vivant en territoire kosovar ont été victimes de plus de trois cents attaques en deux ans.
Les tensions entre la minorité serbe du nord du Kosovo et le gouvernement poussent le voisin serbe à montrer les muscles. Des échanges de tirs non identifiés ont été rapportés. Le chef des armées serbes a été dépêché lundi à la frontière, ses armées mises en état d’alerte.
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