Le grand jeu est sorti. Chefs d’État, vétérans, visiteurs débarquent en Normandie pour le 6 juin. Ils seront passeurs de mémoire. Bals populaires, hôtels affichant complet, course de jeeps, levée d’étendards… Un absent pourtant : le président russe. La faute à la guerre qui l’oppose aux États occidentaux ?
Sans que l’on puisse assurer avec certitude que la tuerie ait été commanditée par les services ukrainiens ou l’État islamique à cette heure, les premières constatations penchent pour la piste ukrainienne.
En obtenant 88 % des voix face à des opposants sans réel relief, le président de la Fédération de Russie prolonge, sur fond de guerre en Ukraine, une séquence de l’histoire de la Russie ouverte il y a un quart de siècle. Une victoire aisée accueillie par des réactions hostiles dans le camp occidental.
Les influenceurs atlantistes accusent, à l’instar de Nicolas Tenzer, la Russie de manipuler les agriculteurs français et européens qui manifestent leur colère face à la baisse de leurs revenus. Ceux-ci sont pourtant directement affectés par l’ouverture des frontières européennes aux productions agricoles ukrainiennes.
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