L’Organisation du traité de l’Atlantique nord, dont le siège est à Bruxelles, a fêté récemment ses 75 ans d’existence. Bras armée de la puissance américaine en Europe, elle vient de changer de secrétaire général, Mark Rutte succédant à Jens Soltenberg.
L’annonce de la livraison des chars lourds occidentaux suscite des espoirs. Pourtant, l’affrontement des troupes ukrainiennes et russes ne se résume pas à une concurrence d’équipements : la guerre reste une affaire humaine, où la formation et l’expérience du soldat est la première garantie de sa résilience. Un article, à retrouver dans notre le magazine n°1 d’OMERTA (février - mars - avril 2023), « Ukraine, la vérité qui dérange », disponible sur notre site internet, boutique.omertamedia.fr.
Sa candidature n’est pas une surprise, car elle bruissait ces derniers mois dans les milieux diplomatiques européens. Le président en exercice de la République de Roumanie, Klaus Iohannis, 64 ans, est candidat à la succession du norvégien Jens Stoltenberg comme secrétaire général de l’OTAN.
Sans atteindre leur objectif de voir fixé un échéancier clair pour son adhésion à l’OTAN, les Ukrainiens ne repartiront pas du sommet de Vilnius complètement bredouilles – sur décision des pays-membres, la procédure standard en deux temps a été simplifiée pour eux et la France a annoncé le transfert de nouvelles armes sur le champ de bataille. De leur côté, les Russes deviennent de plus en plus performants dans leur défense contre le matériel occidental.
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