Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, a annoncé mardi 19 septembre que la France « n’accueillerait pas de migrants » en provenance de Lampedusa. Cependant, une exception sera faite pour les « réfugiés politiques ».
6 000 migrants ont débarqué en 24 heures sur la petite île italienne de Lampedusa. Une situation catastrophique qui échappe aux autorités locales et qui, au vu des premières réactions en France, pourrait bien replacer l’immigration au centre du débat des élections européennes.
Alors que certains départements, à l’image des Alpes-Maritimes, vivent une « situation migratoire explosive » face à l’afflux de mineurs isolés, le gouvernement a annoncé se pencher sur la question. Le président des Alpes-Maritimes, Charles-Ange Ginesy, tire la sonnette d’alarme.
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