Nous portons plainte

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Chers lecteurs,

À la suite d’un énième article diffamatoire à mon encontre et à celui de notre média OMERTA, en l’occurrence aujourd’hui par Télérama, j’ai voulu réagir en personne

Depuis que l’annonce d’OMERTA a été faite, nous ne cessons d’être attaqué. D’abord par Libération, La Lettre A, puis Le Monde et maintenant Télérama. Tous croient détenir une information qu’aucun n’est pourtant capable de prouver d’aucune façon que ce soit : nous serions directement ou indirectement financés par le Kremlin ! Rien que cela ! 

Quelle stupidité. Au début, nous laissions dire, mais à force, cela devient une entrave à notre travail qui commence sérieusement à nous coûter : sachez que nous avons donc décidé de porter plainte contre La Lettre A, après l’avoir fait contre Libération et Le Monde. Nous réfléchissons également à le faire pour Télérama

Attaquer notre ligne éditoriale, oui. Mais affirmer de pareilles idioties dans le seul but de nous faire peur, sans rien affirmer mais en semant la graine du doute, jamais je ne l’accepterai. Je vous le dis très clairement : nous ne cèderons rien. Ni sur la ligne éditoriale que nous avons choisie de porter avec Régis Le Sommier, ni sur notre détermination à faire condamner les diffamateurs. Nous avons abordé de nombreux sujets dérangeants depuis le début, et pas uniquement sur la guerre en Ukraine. Nous avons réalisé un documentaire et des décryptages sur Ursula von der Leyen qui ont valu à notre journaliste Victor Faure d’être directement ciblé par la communication de la Commission européenne. Nous avons parlé du scandale du laxisme migratoire, ou encore des délires wokes en abordant de façon frontale la question trans avec notre journaliste Amélie Menu, qui nous a encore valu des procès et des boycotts. Nous sommes un média national, français, patriote, mais non soumis à l’État actuel, c’est certain. 

Pour ceux qui, à juste titre, et à force d’entendre de telles accusations contre nous auraient besoin d’éclaircissements, les voici et ils sont simples : OMERTA vit aujourd’hui du soutien de nos 10 000 abonnés payants. Et du travail d’arrache-pied d’une jeune et petite réaction qui se démène en France et à l’autre bout du monde pour vous apporter de l’information. J’ai investi 500 000 € à mes frais dans OMERTA, et j’estime d’ailleurs que nos investissements seront rentabilisés d’ici la fin de l’année, en partie également grâce au formidable succès de notre magazine et de nos documentaires. J’ai parallèlement une société de production, qui permet à moindre coût de réaliser ces documentaires et de porter nos frais de studios ou de matériel, tout en diversifiant les activités avec d’autres entreprises dans un modèle entrepreneurial de synergies. Comme tout le monde en somme. Mais ce modèle, s’il a demandé une importante somme pour moi au départ, afin de lancer les formats, louer les bureaux, réaliser des travaux, faire des recrutements ou financer les premiers documentaires, n’est pas pérenne sans votre soutien. 

Mais sérieusement, qui peut penser que si nous étions d’une façon ou d’une autre financés par une puissance étrangère nous bloquerions nos contenus exclusifs et documentaires à nos seuls abonnés payants au lieu de les diffuser à un public beaucoup plus vaste sur YouTube, en accès libre ? La vérité est là : sans nos abonnés, nous ne pouvons pas vivre. Nous n’avons pas de moyens illimités. Et j’ai à titre personnel choisi de prendre ce risque et d’investir une partie de mon argent dans ce projet qui se veut rentable et pérenne. Nous comparer à RT France, aux moyens illimités de 130 millions d’euros par an, et à la diffusion intégralement gratuite, est absurde et ne répond qu’aux fantasmes de journalistes qui ne servent qu’une propagande d’État.

Car c’est certain, il est plus facile pour eux de chercher à nous discréditer de la sorte plutôt que de critiquer notre bon travail, sur le fond, ce qu’ils ne font jamais. 

Alors parce que j’ai travaillé durant plusieurs années en Russie, en grande partie pour des entreprises françaises qui y étaient implantés, à une époque où Emmanuel Macron et la Russie avaient de bonnes relations, cela voudrait dire que je n’ai pas le droit aujourd’hui de travailler en France ? J’ai choisi de prendre ce risque en mettant mon argent dans ce projet qui vise à redonner ses lettres de noblesse au journalisme de terrain. J’en suis fier. Mais jamais je n’aurais imaginé que nous subissions autant d’attaques dans un pays démocratique comme la France. 

Tous ces frais d’avocats, toutes ces procédures, tous ces bâtons dans les roues que nous subissons coûtent une fortune. Et encore une fois, nous avons besoin de vous, mes chers amis. 

Vous pouvez vous abonner et ainsi nous soutenir sur notre site internet www.omertamedia.fr ou via notre application mobile, mais également nous faire un don en nous envoyant un mail à l’adresse contact@omertamedia.fr

Notre survie dépendra de ce soutien financier que vous nous apporterez. Car pendant que nous nous vivons uniquement grâce à vous, ceux qui nous attaquent sont gavés de subventions publiques. 

Merci à tous. Et Comptez sur nous. Il faudra qu’ils viennent nous chercher pour qu’on arrête de travailler ! On les attend.

La saison 2 d’OMERTA risque encore de leur déplaire : elle sera consacrée au scandale du laxisme migratoire. 

Bien à vous,

Charles d’Anjou
Président d’OMERTA

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