Joe Biden n’avait pas toute sa tête. Aujourd’hui, c’est officiel !

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Les cérémonies du D-Day venaient de s’achever. Le monde entier avait pu voir, à plusieurs reprises, un Joe Biden errant, absent, ailleurs… Pourtant, Emmanuel Macron assurait, lors d’une interview, que le président américain était bien aux commandes et qu’il avait toute sa tête.

Quelques heures plus tôt, Joe Biden avait sans prévenir tourné sur lui-même au moment de la sonnerie aux morts. L’apercevant, Brigitte Macron, puis Jill, la femme de Biden, et enfin le président français avaient tous les trois suivi le mouvement, laissant sous-entendre qu’il s’agissait d’une chorégraphie préparée à l’avance…

Cette scène reflétait en réalité la réalité des cinq ans de Joe Biden à la Maison Blanche. Durant cette période, la classe politico-médiatique du monde entier a tout fait pour masquer ce qui apparaissait comme élémentaire au moindre spectateur disposant d’un peu de bon sens. Le président américain n’avait plus toute sa tête. Le moment de vérité interviendra quelques jours plus tard, en juin 2024, lors du premier débat de la présidentielle contre Donald Trump. Ce dernier aura cette phrase assassine envers son adversaire : « Je ne pense pas qu’il sache ce qu’il dit ». Cette phrase et l’heure et demie d’une prestation gênante du président en exercice provoqueront un choc et condamneront aussitôt sa volonté de se représenter. Les démocrates étaient placés devant l’évidence : il fallait qu’ils se trouvent un nouveau candidat. D’où l’émergence de Kamala Harris dans la précipitation, avec le sort qu’on lui connaît.

La vérité sur la santé mentale de Biden est devenue aujourd’hui une évidence. Un livre, Original Sin, publié par les journalistes Jack Tapper et Alex Thompson, révèle comment un cercle restreint de personnes a pu cacher à l’opinion publique l’évidence du déclin de Biden. Les « absences » de Biden remontent en réalité à 2015, mais elles ont empiré lors de la campagne de 2020. Les choses étaient alors encore gérables et Joe Biden a pu l’emporter haut la main contre Donald Trump sans que, en dehors des saillies sur « Sleepy Joe » du milliardaire, personne ne remette en question l’aptitude de Biden à diriger. C’est une scène en 2022 qui va attirer l’attention brusquement. On y voit, à la Maison Blanche, Joe Biden présenter devant les caméras sa petite fille comme son fils Beau, décédé depuis plusieurs années…

C’est le clan autour de Biden qui a permis de préserver le secret, mais également l’ensemble du Parti démocrate qui, préférant le suicide électoral de l’an dernier, a maintenu de bout en bout que Joe Biden était bien aux commandes. Les principaux médias sont tout autant coupables, car ceux qui relataient les errements visibles du président étaient aussitôt taxés de complotisme. La Maison Blanche est allée loin dans la dissimulation, allant jusqu’à truquer des vidéos. Le but étant que le petit groupe autour du président, des gens comme Anthony Blinken ou James Sullivan, se maintenait au pouvoir aussi longtemps que Biden parvenait à faire croire qu’il était sain d’esprit. Ils dirigeaient réellement le pays. Quand on sait l’impact qu’a eu la présidence Biden, en particulier sur la conduite de la guerre en Ukraine et les décisions qui lui sont afférentes, il y a de quoi s’interroger sur la réalité du pouvoir aux États-Unis. Joe Biden était sénile. Ce n’était pas lui qui dirigeait. Désormais, on peut l’écrire et le dire sans passer pour un complotiste…

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