Depuis le début de l'été, les attaques de requins aux abords de côtes et des plages n’ont cessé de se multiplier. Île de la Réunion, Méditerranée, Caraïbes… le phénomène est global et pas nouveau. La hausse significative, depuis dix ans, de ces agressions souvent mortelles, n’a fait que décupler la peur déjà très grande qu’inspire cette espèce. Pourtant, derrière ce phénomène, la menace la plus grande est celle de leur extinction.
À la veille du 14 juillet, dans les nombreuses communes touchées par les émeutes l’ambiance n’est pas à la fête. À Montargis, Rosny-sous-bois ou encore Nanterre, les festivités et le traditionnel feu d’artifice ont tout simplement été annulés. C’est une première depuis 1890, signe d’un déclin de la nation, que le 14 juillet n'est pas célébré.
Deux semaines auparavant, durant quelques nuits d’horreur, des émeutes ont essaimé dans de nombreux quartiers "populaires". Si l’ensemble du territoire national fut concerné, seule la Corse est restée préservée. Retour sur un paradoxe.
Loin des grandes métropoles, les émeutes se sont étendues au-delà des banlieues pour toucher la France périphérique et rurale. Phénomène inquiétant, la multiplication des scènes de pillage dans des zones jusque-là épargnées met en lumière la prolifération des quartiers dit sensibles, futurs territoires perdus de la République.
Pendant que l’Arabie saoudite aspire les stars du football à coups de pétrodollars bien placés, Karim Benzema est toujours en procès contre l’influenceur de droite Damien Rieu qu’il accuse de diffamation, ayant associé le joueur à des images de djihadistes.
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