Est-on encore libre de s’exprimer en France où se heurte-on à diverses formes de censure dès lors que l’on critique le wokisme ou l’islamisme ? C’est l’interrogation que formulent chacun à leur façon les invités du premier Printemps de la liberté d’expression organisé au Palais des Congrès de Perpignan du 3 au 5 mai par le Centre Méditerranéen de Littérature. Une initiative salutaire qui rassemble Michel Onfray, Henri Guaino, Jean Sévillia, Georges Fenech, Boualem Sansal ou encore Alain de Benoist.
Après trois échecs référendaires, les indépendantistes kanaks, soutenus et encouragés par des puissances étrangères, tentent de s’opposer au dégel du corps électoral en Nouvelle-Calédonie. Un jusqu’au boutisme qui contrecarre la volonté de la majorité des Néo-Calédoniens, soucieux de perpétuer les liens tissés depuis 1853 dans le respect des traditions de cet archipel du Pacifique.
Comme en 2023, le déficit budgétaire de la France en 2024 devrait dépasser les 5 % du PIB, alors que les règles européennes imposent en théorie une limite de 3 %. Un nouveau revers pour le ministre de l’Économie et finance Bruno Le Maire, en poste depuis près de sept ans mais aussi pour le président Emmanuel Macron.
Le Rassemblement National de Jordan Bardella caracole en tête des sondages avec 32 % d’intentions de votes et continue d’égrener ses « prises de guerre » en vue des élections européennes du mois de juin prochain. A cette effet, il choisit des profils « régaliens » et « républicains » en lien avec les questions de sécurité et d’immigration.
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