Ayant déclaré durant sa campagne vouloir « récupérer » les îles Malouines, habitées par 3 000 ressortissants britanniques, le nouveau président anarcho-capitaliste argentin Javier Milei donne des sueurs froides aux diplomates alors que ressurgissent les images d’une guerre aéronavale vieille de plus de quarante ans. Retour sur un conflit oublié.
Les États-Unis, le Qatar et l’Égypte ont obtenu du Hamas et d’Israël une pause de quatre jours dans le conflit qui les oppose dans la bande de Gaza afin de procéder à une libération de vingt femmes et trente enfants enlevés le 7 novembre.
L’arraisonnement en Mer rouge d’un navire par des commandos Houthis a surpris par son professionnalisme. Un acte de piraterie commis au nom de la défense de la cause palestinienne, ce qui en revanche n’est guère étonnant, le groupe yéménite ayant soutenu le Hamas après les attentats du 7 octobre.
Ancien chanteur de rock, footballeur et financier millionnaire, Javier Milei vient d’accéder à la présidence de l’Argentine. Conservateur, libéral radical et bête de scène en meeting politique, il a su séduire les électeurs d’un pays à la dérive, comme en leur temps Bolsonaro, Trump ou Zelensky.
Durant la guerre d’Irak, l’armée américaine avait magnifié les bunkers de Saddam, soi-disant points de défense ultramodernes. C’étaient des cloaques à l’abandon. Tsahal a-t-il employé le même procédé avec l’hôpital Al-Shifa en présentant ses sous-sols comme un QG high-tech du Hamas ?
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