Pour sa riposte, inévitable après la destruction de son consulat à Damas, l’Iran, pensait-on, utiliserait ses « proxy », le Hezbollah au Liban, les milices chiites en Irak ou les Houthis en Mer Rouge pour se venger d’Israël. Rien de tout cela ne s’est produit.
Les pays occidentaux sont dans la crainte d’une escalade au Proche-Orient depuis l’attaque israélienne contre le consulat iranien de Damas. La situation s’est particulièrement tendue ces dernières heures, notamment au Liban et dans le Golfe persique.
Peu connu des Français, le Président de la République serbe de Bosnie, interlocuteur privilégié de Vladimir Poutine et Viktor Orban, est venu plaidé la cause de son peuple auprès des pouvoirs publics français et rencontrer la diaspora. Il a pris le temps de venir converser avec la rédaction d’OMERTA pour faire le point sur la situation de l’ex-Yougoslavie.
Aleksandar Vucic et Milorad Dodik sont à Paris pour plaider la cause de la République serbe de Bosnie, composante de la Bosnie-Herzégovine en butte à l’hostilité récurrente de l’Union européenne et de l’Allemagne qui privilégie les intérêts des communautés croate et musulmane de Bosnie.
A rebours de bien des témoignages, l’actuel Président de la République souhaite voir reconnaître la responsabilité de la France dans le génocide commis contre les populations Tutsi au Rwanda en 1994. La raison probable de ce positionnement : plaire à Paul Kagame, chef d’État rwandais, un protégé des Américains aux méthodes de gouvernement contestées et contestables.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.