Il y a 50 ans jour pour jour, les « capitaines d’avril » renversaient pacifiquement la dictature éculée de Marcelo Caetano sur fond d’une interminable guerre de décolonisation. Au-delà de la question du retour festif de la démocratie dans ce pays, cet évènement doit s’analyser en considérant le sens particulier que revêt l’Histoire dans cette ancienne puissance maritime européenne.
La Chambre des représentants des États-Unis a dégagé une majorité pour voter 61 milliards pour l’Ukraine, 13 milliards pour Israël et 8 milliards pour Taïwan. Zelensky et Netanyahu se félicitent de cette décision qui financera, non sans arrière-pensées, leurs opérations militaires mais également le complexe militaro-industriel américain.
Pour sa riposte, inévitable après la destruction de son consulat à Damas, l’Iran, pensait-on, utiliserait ses « proxy », le Hezbollah au Liban, les milices chiites en Irak ou les Houthis en Mer Rouge pour se venger d’Israël. Rien de tout cela ne s’est produit.
Les pays occidentaux sont dans la crainte d’une escalade au Proche-Orient depuis l’attaque israélienne contre le consulat iranien de Damas. La situation s’est particulièrement tendue ces dernières heures, notamment au Liban et dans le Golfe persique.
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