Le weekend a été très tendu au Liban entre l’armée israélienne en guerre contre le Hezbollah pro-iranien et l’important contingent plurinational de l’ONU stationné au sud du pays depuis plus de 45 ans. Même si quatre casques bleus ont été blessés par des tirs israéliens., les forces sous mandat des Nations unies n’entendent pas évacuer leurs positions malgré l’injonction formulée par le Premier ministre israélien en personne.
Une semaine après la violente attaque d’un gang à Pont-Sondé en Haïti, le bilan est grimpé à 109 morts a annoncé un responsable local ce mercredi 9 octobre. Depuis le début de l’année, plus de 3 600 personnes ont perdu la vie. La situation inquiète le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme.
Pour comprendre la mentalité actuelle des hommes du Hezbollah qui combattent face aux troupes israéliennes sur la frontière sud du Liban, il faut remonter au moins huit ans en arrière, comme le fait ici pour OMERTA Régis Le Sommier, alors présent comme journaliste à leur contact en Syrie.
Régis Le Sommier explicite pour OMERTA, un an après l'attaque du Hamas sur Israël, le risque de voir toute la région s'embraser suite à la riposte de Netanyahou sur Gaza et le Liban, avec en embuscade la puissance chiite iranienne.
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