Emmanuel Macron a organisé une conférence internationale pour le Liban jeudi 24 octobre. La veille, Benyamin Netanyahou accusait la France d'avoir changé de camp et de l'avoir "extrêmement déçu". Le chef de l'État français a profité de cette conférence pour répondre aux propos du président israélien et pour débloquer une aide colossale pour les Libanais.
Le sommet des BRICS 2024, clôturé le 24 octobre à Kazan, en Russie, marque une étape décisive pour ce groupe désormais élargi à dix pays, avec des ambitions renforcées de remodeler l’ordre mondial. La rencontre entre Vladimir Poutine et António Guterres, secrétaire général de l’ONU, a notamment relancé le dialogue diplomatique autour du conflit en Ukraine.
La tentative d'assassinat de Benjamin Netanyahu à son domicile, ce samedi 19 octobre, et les bombardements israéliens sur l'aéroport international de Beyrouth le dimanche suivant, sont témoins de l'accentuation du conflit entre les deux pays. Même si les attaques contre le Liban ont fait de l'ombre à celles de Gaza, cette dernière est toujours visée.
Ce dimanche 20 octobre, des dizaines de milliers de manifestants pro-européens se sont réunis à Tbilissi en Géorgie. Un rassemblement à une semaine d’élections législatives qui verront s’affronter les partisans de Bruxelles et les anti-Europe.
Mise en ballotage, la présidente libérale moldave sortante, Maia Sandu, pense camoufler son revers électoral en dénonçant des ingérences russes, alors que le résultat du référendum sur l’adhésion du pays à l’Union européenne a failli être négatif. La situation de cet État, encombrant héritage de l’URSS, est pourtant beaucoup plus complexe qu’une lecture géopolitique binaire voudrait le faire croire.
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