Régis Le Sommier revient pour OMERTA sur l'attentat islamiste commis le 23 juin au Daghestan, dans la partie russe du Caucase et qui a visé des chrétiens orthodoxes et une synagogue, faisant au moins 19 morts.
Cette année, les Jeux olympiques auront lieu du 26 juillet au 11 août, à Paris. En raison de la guerre en Ukraine, la Russie ne participera pas à cet événement. Ses quelques athlètes concourants, seront présentés sous bannière neutre. Mais Vladimir Poutine ne s’est pas laissé mettre de côté aussi facilement : il a créé ses propres jeux.
Accueil en Normandie, honneurs militaires aux Invalides, discours à l’Assemblée nationale… Rien n’était trop bon trop beau pour encenser le controversé président ukrainien qui souhaite voir les occidentaux augmenter fortement leur soutien à sa croisade défensive contre les Russes.
Si depuis trente ans, les commémorations des principaux anniversaires du débarquement anglo-américain sur les côtes normandes sont orchestrées, et parfois instrumentalisées, par les Présidents de la République française, il n’en a pas toujours été le cas.
Le grand jeu est sorti. Chefs d’État, vétérans, visiteurs débarquent en Normandie pour le 6 juin. Ils seront passeurs de mémoire. Bals populaires, hôtels affichant complet, course de jeeps, levée d’étendards… Un absent pourtant : le président russe. La faute à la guerre qui l’oppose aux États occidentaux ?
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