Géopolitique
Ukraine : les mots de la guerre…
Le directeur de la rédaction d'OMERTA décortique pour nos lecteurs l'évolution de la sémantique guerrière des militaires français, à commencer par celle du général Vincent Desportes. Une analyse riche d'enseignements.
Régis Le Sommier
20 mars 2024 à 16:52
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« La défaite de l’Ukraine serait notre défaite et notre déshonneur ». Il y a un mois, dans le magazine Marianne, l’ancien directeur de l’École de Guerre, le général Vincent Desportes exhortait la France et l’Europe à agir pour empêcher une percée de l’armée russe en Ukraine. C’était aux lendemains de la reconquête par Moscou de la ville stratégique d’Avdiivka à l’Ouest de Donetsk, au prix de combats terribles et de pertes colossales de part et d’autre. L’inquiétude gagnait les chancelleries car, par-delà cette défaite, l’Ukraine donnait de réels signes de faiblesses, tant par ses manques de munitions et d’hommes que par le limogeage de son très populaire chef d’État-major par le président Zelensky. Chacun redoutait un effondrement du front avec une possible conquête par les Russes des villes d’Odessa et de Kharkov, voire davantage...
Christelle de Beaucorps
Il y a 4 mois
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Si vous pouviez surveiller l'orthographe et la grammaire... Ça pique un peu !
philippe paternot
Il y a 4 mois
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le président macron attend d'avoir retrouvé le panache blanc d'henri 4 pour prendre le tête d'une brigade de valeureux français volontaire pour bouter les russkoffs hors d'ukraine
Claude ROUQUET
Il y a 4 mois
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Je ne crois pas que Macron s'apprête en entrer en guerre. Il surjoue son propre personnage sur fond de bruit de bottes pour submerger l'espace médiatique et interdire le vrai débat européen, le seul qui est une réalité existentielle, l'immigration. Macron ne veut pas que l'on parle d'immigration, car c'est le grand projet de Bruxelles, celui qui est destiné à diluer les sentiments nationaux jusqu'à les effacer, car ils sont l'obstacle majeur à la volonté fédérale qui habite, nos dirigeants. Les peuples apeurés par le mot de guerre sans la chose, oublient le péril très concret présent sur leur sol, qui grandit chaque jour du fait des arrivées massives et des naissances nombreuses. Certains appellent cela "l'effet drapeau". C'est une arnaque qui risque une fois de plus d'égarer l'électeur qui ne prendra conscience qu'après les élections qu'il a été, encore une fois, privé du droit de choisir son destin.
André Dauphiné
Il y a 4 mois
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Hier, ils prétendaient tenir le Sahel, grand comme 20 fois la France. Nous sommes prêts, comme en 1940.